FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
12 Février 2021
Une étude s’est penchée cette semaine sur l’impact du confinement sur le risque de violence conjugale. Elle conclut que, dans la région étudiée, un couple sur trois est confronté à cette violence.
Un autre source indique, elle, que dans certaines villes, beaucoup plus d’enfants sont violentés depuis le début de nos déboires actuels.
Les naïfs auraient pu croire que l’entente, au contraire, aurait été meilleure dans le foyers maintenant, car confinées, les familles ont plus de temps pour se fréquenter, se connaître et s’apprécier.
Rêveurs, revenez sur terre. On le voit, même s’il est hasardeux de généraliser ce que montrent des études parcellaires, la tendance est plutôt que l’on se maltraite quand on doit trop vivre ensemble.
Qu’est-ce que cela dit de l’homme ? On n’ose trop approfondir la question.
P. S. : Dans le billet du 12 février 2009 il était question de délectation.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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