FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
2 Janvier 2008
Il semble que plus la pensée de la présence du penseur observant sa pensée se rapproche de la pensée qu’il subit, plus le penseur se rapproche du présent. Se pourrait-il que pour
être, le penseur doive atteindre ce dernier?
P.S.: Le billet du 2 janvier 2007 s’intitulait décalage. Envie de le relire? Cliquez sur le mot.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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