FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
26 Avril 2024
Peut-être faudrait-il espérer que ce dieu qui ne semble pas trop concerné par la souffrance du vivant (Leibniz prétendait qu’il a fait son possible, que son monde est le meilleur possible, qu’il n’a pu faire mieux) soit quand même assez fort pour au moins nous convaincre qu’il n’existe pas.
Nous saurions alors que nous sommes seuls et nous prendrions alors les choses en mains. Cela ne saurait être pire.
P. S. : Dans le billet du 26 avril 2019 il était question d’une bizarrerie.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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