clarté

Les bords du Gange ou ceux de la Seine?

Atterrissage à Paris, venant d’un autre monde où l'on peut fermer les yeux dans la lumière. Un café (rue de Rennes) en attendant l’ouverture d’une librairie. Voir tout de la rue. Être fasciné par la scène du carrefour: tous ces yeux fixés sur le feu en instance de virage au vert libérateur.

Et puis cette fulgurance qui change une vie, ce signe, cette évidence: non décidément ce n'est pas ici ce que je veux vivre, ce n'est pas cet air que je veux respirer: la vie ce n'est pas cela. Je suis libre de la vivre d'une plus harmonieuse façon.

Une simple fulgurance, mais si lumineuse.

La vie est le maître à penser.

P.S.: Le cinq décembre 2008, je faisais un autre constat, autrement plus amer.

Comments

[fée des agrumes]

Prendre conscience de sa liberté malgré les discours fatalistes de vie subies.

[Marc]

Voilà.