FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
24 Décembre 2014
Le premier spectacle dans lequel l’être humain se soit absorbé est peut-être bien le feu de bois. Aujourd’hui encore, on rêve ou on se concentre plus facilement en fixant une bûche enflammée; c’est sans doute là le mandala le plus universel et le plus intemporel.
Bien sûr vous me direz que de nos jours l’âtre n’a plus nos préférences, qu’il subit la très forte concurrence des écrans. Mais qu’on éteigne ceux-ci pour l’une ou l’autre raison, et tournant alors le regard vers la cheminée chaleureuse et reposante, on comprendra vite ce qu’on a perdu de ne pas l’avoir fait plus tôt.
P.S.: Dans le billet du 24 décembre 2012 il était question d’une issue pour vaincre l’ennui. Je vous souhaite un joyeux Noël, presqu’aussi chaud (9° et non plus 13°) et donc tout aussi inquiétant qu’en 2012.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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