FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
24 Décembre 2012
En un mot comme en cent, la méditation serait la meilleure alternative, sinon l’unique, au divertissement, pour vaincre l’ennui.
Cet ennui qui, avec la souffrance, constitue notre lot commun, et une de ses constances, selon l’intuition de Schopenhauer que nous rappelions sans trop de tact, il y a quelques jours, ici.
P.S.: Le billet du 24 décembre 2009 parlait de bilan. Comme je le faisais ce jour-là, et toujours avec la même sincérité, je vous souhaite un joyeux Noël [13 ° aujourd’hui, qui l’aurait cru, il y a seulement 20 ans, quand les Toussaint (45 jours plutôt dans l’année) de chez nous (latitude de la capitale de l’Europe, climat maritime) se célébraient en pardessus et que les chrysanthèmes gelaient dans l’heure sur les tombes ; encore merci aux réchauffeurs de planète et destructeurs de toute idée même d’avenir].
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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