FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
31 Octobre 2012
N’en déplaise à ceux qui sont pétris de certitudes (ou même qui n’en ont que peu, légères ou tenaces), au fond toute croyance, parce que relative, ne peut être que (ultimement) fausse.
Toute croyance? Peut-être (mais* peut-être seulement) y a-t-il quand même une exception à cette règle: la croyance énoncée plus haut que toute croyance, parce que relative est fausse. Celle-là pourrait bien être irréfutable, irréductiblement vraie.
*: Cette modération est nécessaire, et si on ne voit pas tout de suite pourquoi, on va méditer la chose. Et c’est cela qui importe, dans le cadre de ce blog.
P.S.: Le billet du 31 octobre 2008 portait le très beau titre de délivrance. Le (re)lire vous ferait (peut-être) du bien.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
Voir le profil de Marc sur le portail Overblog