FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
9 Octobre 2014
Il arrive un moment, quand on médite, où la respiration devient si ténue, si infime, si subtile qu’elle s’arrête même, et cela sans dommage pour le méditant. Le temps doit alors être suspendu, et le mental, au repos.
Et quand la respiration reprend, c’est un peu comme si on (re)venait au monde, conscient d’avoir été vécu, sans avoir vécu soi-même.
P.S.: Dans le billet du 9 octobre 2011 il était question de la plus criante des inégalités. Pas celle que l’on croit.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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