FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
27 Février 2010
Peut-être ne devrait-on jamais se dire: "J'aime faire ceci (cette activité, ce travail, etc...)." mais bien plutôt: "Je me suis conditionné à aimer ceci (avec dans un premier temps peut-être un auto-conditionnement à le rendre seulement supportable).".
Cela serait vrai pour tout le monde, depuis le plus pitoyable esclave jusqu'à l'écrivain, jusqu'au yogi même.
La seule chose que l'on aime en Réalité, ce serait de ne rien faire, ce serait de jouir du grand calme du cerveau, ce serait d'écouter le silence. (Et découvrir cela, certains disent que c’est l’Eveil…)
P.S.: Le billet du 27 février 2009 parlait de l’éternelle différence entre le contentement et l’autosatisfaction que seuls peuvent faire ceux qui ont acquis une maturité spirituelle: discrimination.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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