FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
17 Novembre 2013
Il n'est sans doute pas possible de « me » libérer de la souffrance en ignorant la souffrance de l’autre.
Tant que la vie est souffrance à cause de « moi », « ma » vie sera souffrance.
La souffrance, ce serait uniquement (et par essence) la conscience d'être « moi ».
La non-souffrance, ce serait la compassion pour l’autre, la « non-différenciation » d’avec cet autre (qui est ultimement le Tout, Brahman), ce serait être, ce serait... indéfinissable.
P.S.: Le billet du 17 novembre 2008 donnait une définition de la pratique du yogi, le sadhana.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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