FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
22 Mai 2007
Les vrais hommes de Dieu ne nous suggèreraient pas de nous soumettre à une soi-disant divinité bienfaisante extérieure à nous-mêmes et qui serait attentive à nos efforts pour lui
plaire; ils nous conseilleraient plutôt de nous rendre à nous-mêmes.
Auquel cas, parler de laisser faire est suffisant, puisque c’est ce que nous désirons au plus profond de nous.
Se rendre à soi-même, c’est s’écouter et obéir à cette voix qui dit: je
veux la paix, je veux arrêter de désirer, de courir, de faire quelque effort que ce soit. Dans cette optique d’ailleurs, il n’y a pas un seul effort qui soit
sensé.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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