FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
1 Août 2013
Sans ces psychotropes qui existent depuis toujours et que nous appelons aujourd’hui drogues (qui nous mettent en prison) ou alcools (qui nous emprisonnent), cette vie éphémère serait trop dure pour la plupart.
Le Bouddha avait en son temps trouvé une autre porte de sortie. On peut relire le dhammapada pour comprendre comment il fit pour retrouver ce si beau sourire qui a sans doute mieux traversé les siècles que son secret, un secret pas si secret que ça, un secret que beaucoup connaissent mais que peu exploitent: sans la méditation, pas de sagesse, y disait-il (en XX, 282).
P.S.: Dans le billet du premier août 2008 il était question d’observations.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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