FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
14 Juillet 2012
Le méditant ferme les yeux, et le Gange, lui, ne regarde que le ciel. Cela les rapproche-t-il et en quoi? Peut-être pour se familiariser avec l’éternité qui, comme le souligne Werner Lambersy, est un battement de cils.
P.S.: Le billet du 14 juillet 2008 posait une question dérangeante: bellicisme.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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