résolution

De retour d’Italie au printemps les merles chantent, le café au lit (enfin !) est délice à condition d’éviter la radio (cet étrange objet dont nous avions oublié l’usage aux pays de Piero della Francesca) et ses litanies apocalyptiques, bulletins d’engorgements, catastrophes économiques causées par l’homme à lui-même, violations de la nature, fonte des glaces et réchauffement de notre bonne vieille terre qui demande grâce en vain.

Revenir au silence du matin et au jardin de toujours.

P.S.: Le billet du 22 avril 2011 traitait de relativisation.