FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
21 Juin 2010
« Je suis » serait la connaissance suprême ainsi que le concept le plus proche d'une description non tronquée de ce qui est*, le plus voisin de la perception essentielle.
Dans le niveau de conscience où « je suis » (rappelons que, selon toute probabilité, on y est toujours et que donc il n'est pas à atteindre**), peut-être bien que « je » exprime exactement ce qui devrait être perçu lorsque l'on médite sur l’idée de Dieu.
*: Car dans « Je suis », ce n'est pas le moi illusoire qui se présente...
**: Rappel pour les méditants qui, hélas, ne se satisfont pas de leur méditation telle qu'elle est et souhaitent apprendre à méditer.
P.S. : Le billet du 21 juin 2008 évoquait plus profondément cette méditation sur l’idée de Dieu: exceptions.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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