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FULGURANCES D’APRÈS SILENCE

optimisme

Rien ne va plus dans le monde d’aujourd’hui, on n’y fait que consumer ce qu’il nous reste de planète et personne ne renverse sa vapeur.

Excepté L. Ferry* qui feint d’en douter, on parle désormais du progrès comme d'une calamité inéluctable.

L'humanité a réalisé la monstruosité de son intelligence calculatrice et a implicitement accepté son suicide.

(Seul le méditant, lors de trop rares moments d’extase, entrevoit encore l’avenir comme quelque chose de paisible.)

 

 

 

 

*: « A vrai dire, nous ne savons même plus si le progrès est un progrès. » dans « Où va la France ? », Edgar Morin et Luc Ferry, 2007, Le Monde 2, n°168, p. 22-29.

P.S.: Dans le billet du 24 mai 2008 il était question de glissade.

 

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À propos
Marc

Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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C
<br /> <br /> Je vous souhaite également un excellent week-end.<br /> <br /> <br /> Il ne faut pas donner aux mots plus d'importance que ce qu'ils en ont. Il y a eu quiproco. Au prochain (pas quiproco- je plaisante-) commentaire, ici ou là.<br /> <br /> <br />  A bientôt sur la blogosphère <br /> <br /> <br /> Amicalement<br /> <br /> <br /> Françoise<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Je considère que l'important n'est pas d'être grand mais d'être debout.<br /> <br /> <br /> Quant aux élèves, oui, je leur dis ce que je veux qu'ils entendent au double sens du terme. En fait c'est même pour cela que j'étais rémunérée par EUX...Jusqu'en Octobre dernier.<br /> <br /> <br /> Et quand ils n'entendaient pas je modifiais la forme jusqu'à ce que ça marche.<br /> <br /> <br /> Mais vous n'êtes pas mon élève, je n'ai donc pas à m'impliquer plus. D'ailleurs contrairement à eux, ce ne semble pas être ce que vous souhaitez.<br /> <br /> <br />  Je vous souhaite de trouver plus de compréhension auprès d'autres lecteurs et que ce ne soit pas par complaisance.<br /> <br /> <br /> Cordialement aussi<br /> <br /> <br /> Françoise<br /> <br /> <br /> Ceci n'est qu'un commentaire qui complète le précédent. <br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> Ma position quant à l'enseignement est différente de la vôtre.   " Il m'est odieux de suivre autant que de guider", disait Nietzsche (Le Gai Savoir, Plaisanterie, ruse et<br /> vengeance, 33). Je le pense aussi, en toute modestie. C’est pourquoi vous trouveriez sur ce blog beaucoup de conditionnels, de "peut-être", de "sans doute", de points d’interrogation.<br /> <br /> <br /> Mais tout ceci nous éloigne de l’essentiel: je voulais en effet vous dire que je regrette cet échange un peu vif et que je souhaite que nous continuions à nous fréquenter dans la blogosphère; et<br /> j'aurais aussi aimé vous souhaiter un excellent week-end et tout plein d’échanges féconds dans votre vie.<br /> <br /> <br /> Amicalement,<br /> <br /> <br /> Marc<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> <br /> J'ai lu votre texte et n'ai pas eu l'intention de le ridiculiser.<br /> <br /> <br /> Je maintiens mon avis "qu'apprivoiser l'optimisme" est le défi que doit relever tout humain pour accéder à la joie de vivre. Et apprivoiser prend du temps.<br /> <br /> <br /> Par ailleurs, pour moi il y a l'action et "tout le reste est littérature" ... du café du commerce peut-être (je ne peux être affirmative sur ce point vu que je ne l'ai jamais<br /> fréquenté.) <br /> <br /> <br /> Je ne commenterai plus vos articles car je ne dois pas être en mesure de  recevoir le sens que vous leur donnez. <br /> <br /> <br /> En tant que prof j'ai souvent vécu cette expérience désagréable avec mes étudiants. Je compatis. <br /> <br /> <br /> Françoise<br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> Prendre le posture du "prof" pour mieux pour mieux faire passer votre inaptitude à commenter un texte précis et concis (d'élève?, soit), voilà qui ne vous garandira pas à mes yeux.<br /> <br /> <br /> Quant à cette expérience désagréable que vous dites fréquente chez vous, se produirait-elle si vous écoutiez l'autre, élève ou pas, et répondiez exclusivement à ce qu'il vous dit (plutôt que de<br /> lui dire ce que voudriez qu'il entende)? C'est Montesquieu, je crois, qui disait que ce qui guettait l'enseignant, c'était la possibilité de devenir péremptoire...<br /> <br /> <br /> Vous êtes libre de commenter ce que vous voulez, cela dit, comme je le suis de m'offusquer parfois d'un certain type de commentaires.<br /> <br /> <br /> Salutations cordiales.<br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> <br /> L'optimisme est une manière de percevoir positive, alimentée par la croyance que nous évoluons en Alliance avec la Vie.<br /> <br /> <br /> Ce partenariat est incontournable et implique des droits et devoirs pour chacun. Notre partenaire a le droit d'intervenir pour que la Vie, donc Elle, se poursuive. Elle a le devoir d'utiliser la<br /> conjoncture pour cette finalité.<br /> <br /> <br /> L'optimisme se mérite et s'apprend. Se re-apprend car un des effets indésirables de l'enseignement est souvent de l'effacer de notre mémoire d'enfant.<br /> <br /> <br /> C'est ce que je crois.<br /> <br /> <br /> Pensées cordiales<br /> <br /> <br /> Françoise-Louise<br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> Je suis parfois sidéré par la lecture que l’on peut faire de mes billets. A se demander si cela vaut la peine de choisir chaque mot avec soin.<br /> <br /> <br /> Avez-vous lu mon texte ou vous êtes-vous arrêtée à ce titre qui semble vous dire quelque chose?<br /> <br /> <br /> Si vous l’avez lu, l’avez-vous compris ?<br /> <br /> <br /> Dans tous les cas, pourquoi le ridiculiser en alignant une série de poncifs sur l’optimisme que même Pierre Daco et Richard Bach auraient reniés?  Le café du commerce n’est pas<br /> à cette adresse.<br /> <br /> <br /> <br />