FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
11 Janvier 2012
Dans l’univers, le silence absolu règne le plus souvent. Ce n’est que dans les rarissimes endroits où il y a de la matière, et donc entrechoquement de particules, qu’il y a son cri, que nous appelons le son, le bruit.
D’où vient-il alors que dans nos cerveaux qui aspirent pourtant à la paix du silence, ce soit le bruit formé par l’entrechoquement des pensées qui prédomine? Pourquoi cette douloureuse exception à la règle?
P.S.: Le billet du 11 janvier 2008 évoquait les différents présents: intemporalité.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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