FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
28 Octobre 2009
La tragédie de l’existence humaine c’est sans doute qu’au fond et à de très rares exceptions près, chacun n’aime* que soi - et que donc il n’y a personne qui nous aime que nous-mêmes.
Et si, après nous avoir permis de le comprendre, la méditation seule pouvait quelque peu nous en consoler?
*: Ceci s’entend à l’exception des manifestations d’espèce en vue de sa pérennité: l’amour sexuel et la protection exercée par les géniteurs sur leur progéniture. D’autre part, il faut au moins entendre ici par aimer quelqu’un être prêt à donner sa vie pour lui.
P.S.: Le billet des 26 et 27 octobre 2008 parlaient de silence. Voici le premier.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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