FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
16 Avril 2007
Prenons
Demandons-nous ce qu’il resterait si on les retirait toutes.
Peut-être qu’il ne resterait rien, strictement rien.
Les consciences seraient le monde dont elles sont conscientes. Les consciences constitueraient le monde, ce monde fait d’elles-mêmes. Les consciences seraient le monde. Le monde serait les consciences. L’un et l’ensemble des autres seraient Réellement équivalents et de plus, irrémédiablement liés. Séparés, ils n’existeraient pas. Ils seraient comme des jumeaux qui n’ont qu’un cœur, et comme eux, ils n’existeraient que pour l’autre qui serait lui-même.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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