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FULGURANCES D’APRÈS SILENCE

consolation

Ce mental - et « je » pointe le doigt vers « moi » - doit beaucoup méditer; mais il n’est pas nécessaire, « je » crois, de faire cela pour devenir ce que nous sommes.

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À propos
Marc

Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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D
Nous ne sommes pas ce que nous avons été, ni celui (ou celle) que nous serons. La conscience n'est qu'une vague sur l'océan du vide...
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M
"O Ray, le cours de ta vie est comme une goutte de pluie dans l'océan sans fin de la conscience éternelle. Pourquoi t'inquiéter plus longtemps?"(J. Kerouac. Les Clochards Célestes, p. 369, édition de poche)<br />  
A
Je pense que tout est "déjà là" dans notre totalité mais le problème est de le ramener à la surface. La méditation aide, il "me" semble. Amitiés.
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M
Ce "déjà là" ramené à la suface (à la conscience) aurait un goût reconnaissable entre tous... Heureux ceux qui seraient à même de le reconnaître.(S'agit-il d'un problème, je ne le crois pourtant pas. En faire un (problème) constitue un obstacle, peut-être l'ultime.)Amitiés, Ariaga.
C
non pas nécessaire de méditer pour être ce que nous sommes ... autrement dit JE SUIS !! le je étant là en majuscule et non le petit je égoïque ... <br /> merci Marc<br /> cat
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M
Le "je" qui nous construit (voire nous détruit) et celui que l'on transcende.Quel plaisir de te réentendre, Cat! Amitiés, Marc
I
le "je" n'est pas acquis avec le language, un enfant qui commence à parler le fait à la troisième personne en utilisant son prénom. C'est une étape suivante... Le "moi" n'est-il pas imposé par l'éducation et à l'école maternelle où on l'encourage au "je" ?
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M
Il y a le "je" qui nous construit [passages: il (le bébé à sa maman), je (et pas mon frère, ma soeur, le parent de l'autre sexe, l'autre en général), nous (les ados), je encore, nous (le couple), etc...] et celui qui nous détruit par excès d'égocentrisme: un problème sociétal (l'individualisme du jour) autant qu'un mal culturel: Malraux fait dire au Chinois Ling:"Nous voulons ne pas prendre conscience de nous-mêmes en tant qu'individus. [...]; car la suprême beauté d'une civilisation affinée, c'est une attentive inculture du moi."André Malraux, La Tentation de l'Occident,  Grasset, 1926, p. 80)Quelques éléments rapides de réponse, Irène.Amitiés, Marc