FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
23 Février 2007
En Inde, il est conseillé au méditant une assise d’au moins une heure.
La raison invoquée parfois est qu’il faut au moins cinquante minutes pour que « quelque chose » se passe.
Pourquoi cinquante minutes? Ne serait-ce pas parce que, s’étant imposé une assise d’une heure, le méditant se détend lorsqu’il sent qu’arrive le terme de la pratique qu’il s’impose? La méditation, cessant alors d’être conjuguée sur le mode de la discipline, deviendrait ainsi, sur la fin, ce qu’elle devrait sans doute toujours être, à savoir une détente autorisant le mental à entendre le silence.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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