FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
12 Février 2007
Méditer ne serait jamais prémédité.
Mais l’assise en silence alors, direz-vous? C’est peut-être là que méditer est le plus difficile. Parce qu’il faut sans doute « pratiquer » ainsi pendant longtemps avant de transcender un jour le désir de rechercher quelque chose dans cette position adoptée volontairement. Et être là pour rien, strictement pour rien.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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