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FULGURANCES D’APRÈS SILENCE

contemplation

Venir totalement à bout d’un problème requiert d’une part de ne négliger aucune hypothèse, aucune piste, strictement aucune, aussi douloureuse ou désagréable soit-elle; et d’autre part, curieusement, de n’avoir aucun désir, conscient ou non, de solution, ce qui distrairait l’esprit de sa contemplation. Contemplation qui, à elle seule, requiert une attention totale, à la mesure de la globalité de la question évoquée.

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À propos
Marc

Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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S
...<br /> tant de choses vraies exprimées ici <br />          ... je reviendrai<br />  <br />  
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V
Amitiés aussi toutes douces...
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V
A pas de velours me glisse entre vos mots, Cher Marc, très touchée par votre passage.
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M
Merci, Vi,Amitiés,Marc
P
Ma maxime de ce matin est décidément : "Marcher jusqu'au lieu où tarit la source et attendre, assis, que se lèvent les nuages"...oui, recueillir puis laisser passer...et puis aussi....demander à ce que réponse vienne....et elle vient....toujours.... Merci de tes mots Marc, je te souhaite une belle journée !
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M
Cela me fait penser à une autre histoire, entendue au bord du plus sacré des fleuves, Petite Cerise:"En remontant le fleuve, tu atteindras sa source. En restant assis, tu contempleras la formation des nuages."Amitiés,Marc
I
La comtemplation requière de se détacher totalement du problème, d'intégrer ce problème qui devient un problème et non plus ton problème. N'étant plus concerné, tu le résous plus facilement.<br /> Pareil pour la douleur (j'ai essaye) la contemplation permets d'intégrer la douleur, de s'en détacher, elle n'est plus ta douleur, tu ne la combats plus, tu la comtemples et elle s'aténue...<br /> Je ne sais pas si je suis bien dans ton sujet ce matin ? 
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M
Parfaitement, Irène,Amitiés,Marc
C
Des règles extrêmement strictes. J'y réfléchis. Je me débats....<br /> ..."La solution  distrait l'esprit de la contemplation".... <br /> Je dirais que de la Contemplation naît la solution. Oui je suis assez dans cette optique. J'aime vraiment bien venir chez toi pour y réfléchir car c'est un monde mystérieux que tu m'offres...
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M
Légère rectification si tu permets, chère Claude, quant à l'entre-guillemets: c'est le désir de solution qui distrait l'esprit de sa contemplation. C'est du moins ce que j'avais voulu dire. Pour l'essentiel, nous nous rejoignons.Amitiés,Marc