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FULGURANCES D’APRÈS SILENCE

méprise

L’erreur de la plupart des gens et la cause de quasi tous leurs maux (les hindous pensent que l’ignorance (avidya) est la cause de la souffrance) seraient de croire que l’important est l’image que les autres ont d’eux-mêmes, alors que ce serait l’image - entendez l’opinion - qu’ils ont d’eux qui conditionnerait leur bonheur.
En réalité, ils extrairaient celui-ci d’une vie en accord avec leurs valeurs (subjectives, c’est entendu), une vie où l’harmonie* n’est pas absente.




*: « Tous les problèmes de l’existence sont essentiellement des problèmes d’harmonie », disait Sri Aurobindo (dans les premières lignes du premier chapitre de La Vie Divine, intitulé L’Aspiration Humaine).
P.S.: Qu’est-ce que le non-mental et son opposé, bien plus connu mais tout aussi mal cerné? Le billet du 11 août 2007 tentait une définition.
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À propos
Marc

Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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L
A regarder la mer, nous entendons le bruit des vagues.A regarder notre intérieur, nous entendons le bruit de notre corps.A regarder le silence, nous entendons le bruit de son éloquence.Merci de votre visite, très amicalement, Jack
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M
<br /> “The state of grace is the speech that rises in the heart of silence.”<br /> (Ramana Maharshi, The collected works of Ramana Maharshi, p. 149)<br /> <br /> C’est un grand plaisir de vous avoir découvert, Jack.<br /> <br /> <br /> <br />