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FULGURANCES D’APRÈS SILENCE

hypothèses

Le plaisir serait le contrepoids de la souffrance, pas son opposé.
L’opposé de la souffrance, ce serait le bonheur et le bonheur, ce serait l’absence d’ego, que cette absence soit vécue dans un état méditatif ou mise en œuvre dans une pratique altruiste.




P.S.: Chercheur du chemin, le billet du 28 mai 2007 était un avis à votre intention.
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À propos
Marc

Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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M
Le plaisir peut être de courte durée. Le bonheur est gravé dès lors qu'on l'a touché. Le bonheur gomme la souffrance, pas le plaisir, ce dernier n'est que pansement sur une plaie non soignée. Enfin, c'est comme ça que je ressens les choses...Bonne nuit Marc!
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M
<br /> Il laisse des traces, le bonheur. Et c'est sans doute pour cela, parce qu'on s'en souvient, parce qu'on voudrait qu'il revienne, qu'il ne revient plus...<br /> Un autre peut-être (inespéré), mais pas celui-là...<br /> Hello, Marie-Eve.<br /> <br /> <br />
L
le plaisir serait la jouissance du moment vécu avec la conscience du bonheur procuré ... Parfois il arrive que l'on médite sur le sujet, parfois que l'on agisse ...
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M
<br /> Dès la conscience du bonheur est là, celui-ci l'est-il encore?<br /> <br /> <br />