de choses et d'autres...

doléance

25 Février 2008

By Marc

Méditer ne sera jamais à la mode. Une réalité qui indiffère celui qui médite, plus que tout autre.

P.S.: Bref comme celui-ci, le billet du 25 février 2007 parlait de présomption.

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À propos

Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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home64

25/02/2008 23:51

Salut Marc,J' ai pris l'habitude de laisser tous passer, les fulgurances aussi, d'ailleur avant de lire ton blog, je ne savais pas ce que c'était; hi hiMéditer c'est difficile à expliquer surtout à quequ' un qui n'a jamais pratiqué cela, Je t'envoie mon amitié, bon courage,à bientôt...

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Marc

26/02/2008 21:02

Fulgurance: je trouve ce terme très ronflant, personnellement je ne parle que de flashes. Cela, je pense que tu sais sûrement ce que c'est, à lire ton blog (que je découvre). Je t'envoie moi aussi de l'amitié et des encouragements.

Leloire Marie-Claude

25/02/2008 23:26

les modes passent, et la méditation reste !

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Marc

26/02/2008 20:56

La méditation, c'est la vie. Qui reste assurément.

lilou

25/02/2008 11:53

Quand je n'ai plus rien à prendreque pourrais je saisir ..

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Marc

26/02/2008 20:54

L'authenticité découverte dans l'assise préserve du besoin de suivre encore...

nocivité

Certes, les religions sont des impostures mais ce n’est pas cela le plus dérangeant, l’imposture étant partout. Pire est leur intolérance (« C’est mon dieu le bon ! ») qui mène à la violence, verbale, terroriste et parfois même d’état. Et pire encore,...

discernement

Ce que la fête chrétienne dite du dimanche des rameaux pourrait ésotériquement suggérer c’est que l’immodestie est contre-productive et que Dieu, s’il existe, plaisante encore moins avec ceux qui aiment à se vanter qu’avec le reste de sa création, plus...

bonheur

Une question mille fois posée est celle de la définition du bonheur. Ce n’est sans doute pas, contrairement à ce que pense (si je l’ai bien compris) ce philosophe de plateau télé, tout simplement tout ce qu’on vit quand on n’est pas malheureux, être malheureux...

placidité

Un matin, je regardais le soleil éclabousser un mur blanc et lui donner la couleur du bonheur. C’était un dimanche de février, ensoleillé mais froid. Et ainsi, à rester comme pétrifié, sans volonté, j’étais heureux, ou plus exactement je retrouvais le...

désillusion

Malgré toutes les illusions, les bonnes opinions que l’on a de soi-même, comment voir, comment faire en sorte que nous soit révélé (comme pour un test rapide de telle ou telle maladie disponible en pharmacie) que l’on a toujours de l’ego ? Eh bien, en...

présomption

Seul peut-être le méditant est philosophe, si le philosophe est celui qui doute peu que tout ce qu’il dit n’est jamais que son propre point de vue, d’ailleurs jamais garanti (par lui-même) dans le temps. P. S. : Dans le billet du 28 janvier 2008 il était...

libération

Envisagée dans le cadre d’une pratique régulière d’assise en silence afin d’assainir l’esprit et de le protéger de tout conditionnement (pratique donc plus nécessaire encore aujourd’hui qu’hier, étant donné l’évolution déplorable de l’humanité et sa décadence...

refuge

Avec la bienveillance (maitri), la compassion (karuna) et l’absence de joie sale (mudita), l’imperturbabilité (upeksha) est une des grandes vertus. Le méditant est supposé atteindre avec l’âge cette faculté d’accueillir tous les aléas de la vie avec impassibilité....