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FULGURANCES D’APRÈS SILENCE

corrélation

On trouve là-bas des coffres-forts secrets en nombre mais aussi de très belles montagnes.
Quand nous nous sentons mal, nous voyons ce pays comme un ramassis d'individus armés jusqu'aux dents pour garder l'argent des crapules de la terre.
Quand nous sommes heureux, nous le voyons comme une œuvre d’art.

Le monde est un reflet de notre propre mental.
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À propos
Marc

Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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F
Ca traduit un manque de maturité ou d'objectivité, c'est tout. Et surtout c'est faire preuve d'égocentrisme. Rien d'étonnant venant de l'Homme.
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M
Rien d’étonnant en effet, mais il est bon de se rappeler parfois que ce travers est aussi le nôtre.
L
Puisque le monde serait le reflet de notre mental, autant lui garantir (à notre mental) le côté le plus positif qui soit, afin d'essayer de faire bouger les choses du monde dans le bon sens, or je constate que trop de pessimisme alourdit le système...L'optimiste est responsable de sa vie, et aussi de celle du monde dans lequel il baigne, il en a conscience ... 
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M
Trop de pessimisme alourdit le système, oui, mais trop d’optimisme aussi - et en plus ce dernier arrange bien les nantis et autres réacs, ceux qui veulent que rien ne change (éthiquement, socialement, écologiquement). Pour en revenir aux préoccupations de ce blog, la solution serait peut-être dans une sorte de juste milieu (pensée grecque du rien de trop ("mèden agan"), de la mesure ("pan métron ariston"), pensée bouddhique du madhyamaka, etc.) entre l’optimisme béat et le pessimisme inhibant, dans le fait de voir les choses telles qu’elles sont, un idéal que cherche à atteindre le méditant - avec l’énergie du désespoir car la lucidité qu’il engrange lui permet vite de comprendre que c’est, en Réalité, impossible.