FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
26 Juillet 2007
Quand quelqu’un décède vient le temps des lamentations: que d’occasions ratées de son vivant de rendre manifeste tout cet amour qui maintenant se révèle dans les regrets.
Ah s’il avait su! Ah si nous avions su! Et l’on se dit que l’existence de celui qui a quitté son corps (comme disent les hindous) ne tient plus désormais qu’au fil fragile de notre mémoire.
Et si, au fond, vivant ou mort, nous n’existions jamais que dans la tête des autres? Cela rendrait le paraître sans intérêt. Seul importerait l’amour. Une bien belle hypothèse!
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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