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FULGURANCES D’APRÈS SILENCE

affinement

Comprendre de mieux en mieux qu’à la vie nous ne comprenons rien.

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À propos
Marc

Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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S
... c'est à peu près ça Marc ... plus on avance en âge moi on sait  la magie de la vie ... mais ...plus on l'apprécie ...
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O
j'ai parfois essayé de la comprendre,  et on en revient toujours à "l'idée" de Dieu. 1- il n'y en a pas, donc la vie est un hasard (tout au moins à son début)2- il y en a un, pourquoi nous laisse--t-il si souvent seuls, désemparésJe n'ai pas trouvé de réponse, bien entenduAmitiés
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M
Tant que Dieu est pensé, ce serait ton dieu. Le silence mènerait ailleurs...
J
"comprenons", car alors nous comprenions, et c'est  cet être qui sera devenu dans et par l'effort de cette compréhension qui affronte (possède alors la puissance d'affronter) le vertige de l'inconnaissance chaotique de la vie.
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M
 "et qu'effectivement nous comprenons alors que nous ne comprenons rien ."Ou... comprenions... ?
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J
Une chose est de penser "sa" vie, autre chose est de penser "la" vie et ces deux pensées me semble-t-il ne sont pas contemporaines. Tant que nous gravissons la conscience de soi dans la verticalité du désir "la" conscience de" la" vie reste vague, abstraite. Ce n'est peut-être qu'une fois parvenus au sommet que nous faisons l'expérience, dans une immanence à couper le souffle, de la conscience de "la" vie et qu'effectivement nous comprenons alors que nous ne comprenons rien .
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M
"De quelle vie parlais-je", me demandais-tu . Et je t'ai répondu: "De la mienne." J'aurais dû dire: "De la vie en moi."Je suis tout à fait d'accord avec ce que tu écris.Bon dimanche.