FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
14 Mai 2007
Pour que les mondes de la contemplation et de la recherche du chemin aient pour soi un sens, il faut peut-être comme condition nécessaire et suffisante être de ceux pour lesquels la
sérénité est la plus grande des félicités.
D’ailleurs, il n’est sans doute point d’humain qui, ayant connu le plus grand silence, en soit revenu à l’agitation et à la dispersion; et cela pour la simple raison qu’un esprit capable d’une
telle volte-face insensée* n’aurait pu initialement concevoir un désir de grandissime silence, désir qu’il faut d’une façon ou d’une autre émettre pour qu’il se réalise.
*: Pour ne pas dire contre nature.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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