FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
11 Décembre 2006
La raison principale pour laquelle l’Inde qui médite ferme les yeux, c’est que là-bas la lumière est forte. Et que lorsque l’on ne fait rien, juste être assis, il est plus agréable de fermer les yeux. Là, des gens qui restent immobiles, les yeux clos,...
En savoir plus10 Décembre 2006
L’Ultime Réalité serait moins la réalité dernière sur une (illusoire?) échelle de temps que celle - indéfinissable autant qu’indicible - où il n’y aurait plus de comparaison, de définition, de pensée même, où les concepts de Réalité Ultime et d’illusion...
En savoir plus9 Décembre 2006
Au lieu de partir du principe qu’il y a quelque chose à trouver en matière de spiritualité, pourquoi ne pas adopter le point de vue que l’on a déjà tout et que ce tout, c’est en le cherchant qu’on l’occulte?
En savoir plus8 Décembre 2006
Ce qui est fondamental, ce serait ce qui amène le mental à toucher le fond (de son vacarme).Les questions fondamentales n’auraient pas de réponses. Elles ne pourraient être résolues, mais seulement contemplées dans le silence derrière le mental.
En savoir plus7 Décembre 2006
Tout problème mal posé est un ajournement de sa réponse.Toute pensée est un ajournement du silence.
En savoir plus6 Décembre 2006
Dans le silenceil y a les réponsesà toutes les questionsque l'on ne désire pas poser. (Ajouté sur le même support, quelques respirations plus tard)
En savoir plus5 Décembre 2006
De l’incomplétuderecouverte - et bien cachéepar la vanité des motspar l’illusoire beautéd’une certaine idée de l’intelligencepasserau silenceaux apologies irrationnelles de l'absurdité aux plaidoyers dédaigneux du résultatau côtoiementde ce que d’aucuns...
En savoir plus3 Décembre 2006
Confronté à un mental qu'il ne maîtrise pas toujours, le méditant en arrive parfois à se dire: "Si nous réfléchissons bien, il n'y a pas de problème. Le seul problème, c'est que nous réfléchissons trop." Une sagesse découverte dans l'exaspération et à...
En savoir plus2 Décembre 2006
Travaillons simplement, avec désintérêt quant au résultat, sur le seul matériau sur lequel nous avons un semblant d’emprise: nous-mêmes. Et peut-être verrons-nous alors que le monde que nous trouvons si abominable pour l’instant a changé dans la mesure...
En savoir plus1 Décembre 2006
Le silence serait à la méditation ce que le bonheur est à la vie. Ne fût-ce qu’en cela que chacun dans son domaine (à supposer que ces domaines soient séparés) est insaisissable.Les rechercher, ce serait faire exactement ce qu’il faut pour ne pas les...
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