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FULGURANCES D’APRÈS SILENCE

appréciation

Pour savourer la beauté pure (comme il en est d’innombrables à Florence) il faut pouvoir faire abstraction de son environnement.

Une œuvre expliquée à un public en troupeau (voir plus bas) n’est plus qu’une relique. Pour la « voir* » il faut être seul.

*: « We must look a long time before we can see », disait Thoreau dans A Natural History of Massachussets

P.S.: Dans le billet du 30 septembre 2008 il était question de pluralité.

Firenze, in settembre...

Firenze, in settembre...

Battistero di San Giovanni, Firenze

Battistero di San Giovanni, Firenze

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À propos
Marc

Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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P
J'ai éprouvé le même sentiment en Egypte, en Grèce, en Turquie : devant toutes ces merveilles j'aurais voulu être seule et pouvoir les contempler sans commentaires, sans bruit excepté le chant des oiseaux...et le souffle du vent sur mon visage...<br /> Toutes ces images je les ai emportées avec moi dans un repli de ma mémoire. Je peux m'asseoir et, grâce à l'imagination, rêver que j'y retourne que je suis, cette fois, seule devant la beauté...
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S
Comme expliqué pour lire Sénèque (seul intérieurement) en pleine foule du métro parisien, et pour rejoindre le Dalaï-Lama : &quot;le vrai bonheur ne dépend d'aucun être, d'aucun objet extérieur. Il ne dépend que de nous...&quot;... Vous voit-on sur la photo, ou est-ce vous le photographe ?..
Répondre
M
Mais encore?
L
je ne suis pas d'accord avec ce billet