FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
30 Septembre 2013
Pour savourer la beauté pure (comme il en est d’innombrables à Florence) il faut pouvoir faire abstraction de son environnement.
Une œuvre expliquée à un public en troupeau (voir plus bas) n’est plus qu’une relique. Pour la « voir* » il faut être seul.
*: « We must look a long time before we can see », disait Thoreau dans A Natural History of Massachussets
P.S.: Dans le billet du 30 septembre 2008 il était question de pluralité.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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