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FULGURANCES D’APRÈS SILENCE

satisfaction

La meilleure façon de ne pas être heureux c’est de chercher à l’être (plus tard ou là où l’on est pas).

Pourquoi se soucier du bonheur ? Il est là. Quand on ne le cherche pas, quand on ne le veut pas, et même quand on ne se sent pas malheureux de penser ne pas le connaître.

Il est là quand on est (bien) chez soi ou quand on voyage et que l’on pense que l’on est là où l’on doit être (ce qui donne d’intenses bouffées de bonheur, foi d'un voyageur qui a connu tant de ces euphories surtout quand il était jeune). Mais attention, il faut aussi ne pas vouloir le retenir quand on le remarque, sinon il s’envole.

Où que l’on soit on a tout pour être heureux, il suffit de s’en rendre compte. Alors heureux, on l’est, on a « oublié » consciemment et inconsciemment que l’on voudrait l’être, ce qui l’aurait mis hors de portée*

 

 

* : Ce qui, dit en passant, est une nouvelle illustration de la deuxième noble vérité : C’est le désir, cette chose consécutive à toute frustration,  qui est la cause de la souffrance.

P.S . : Dans le billet du 11 août 2007 était tentée une audacieuse définition.

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À propos
Marc

Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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La vie est désir Spinoza
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M
?