FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
1 Décembre 2020
Méditer : même sceptique, même incroyant, même athée, vénérer la divinité (par exemple un Shiva Nataraja consacré par un saint homme en Inde) devant laquelle on s’assied en silence, le matin, après l’avoir saluée d’un anjali mudra, tout cela pour dire que l’on est conscient du mystère fondamental : celui d’être là, mystère dont on pose que cette divinité le matérialise, le concrétise, et pourquoi pas, pour peu qu’on lui prête un peu vie, l'évoque fortement.
P. S. : Dans le billet du premier décembre 2014 il était question d’un choix fondamental.
https://www.youtube.com/watch?v=0IXxpAZnbTM
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
Voir le profil de Marc sur le portail Overblog