FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
22 Octobre 2020
Avant, les parents disaient qu’ils voulaient pour leurs enfants un avenir meilleur que ce que n’avait été leur vie.
Depuis le basculement du monde (déjà découvert en 2007, voir ce billet), ils ont dû modérer leurs ambitions, si l'on peut dire : pour leurs enfants ils aimeraient un avenir pas pire que la vie qu’ils ont eue, ce serait déjà ça.
L’humeur dystopique s’est maintenant généralisée, et le contraire serait étonnant au vu des vicissitudes de l’époque : la barbarie religieuse, le climat qui nous lâche (20° un 21 octobre, à la latitude de Bruxelles), la biodiversité en berne, la terre devenue poubelle, et maintenant ce virus.
Relisant le billet du décembre 2007 évoqué plus haut, je n’ai pas à chercher pour trouver une chute à ce billet. Il me suffit de rappeler celle d’alors :
Entre ces deux âges, le méditant lui, s’assied dans l’instant. Il n’est ni jeune, ni vieux. Il n’espère rien. Droit, il respire.
P. S. : Dans le billet du 22 octobre 2018 il était question d’une similarité.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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