FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
29 Janvier 2019
L’air que l’on respire ici est extraordinaire, roboratif et bon pour l’esprit.
C’est sans doute une des raisons pour lesquelles les gens aiment les bords de mer*. Ils n’y viennent pas seulement pour la sensation d’espace, les plaisirs de l’eau, les levers et couchers du seul dieu commun à tous les hommes - que serions-nous sans le soleil ? -, ils y viennent ici aussi car ils y respirent et partant, sont inspirés ou tout au moins y voient plus clair.
* : Comme d’autres quittent la pollution des métropoles pour les forêts, la campagne ou la montagne, tous lieux spécifiques pour les quémandeurs d’air pur ayant d’autres besoins respiratoires à assouvir, d’autres préférences olfactives, d’autres équilibres à trouver ou retrouver.
P. S. : Dans le billet du 29 janvier 2010 il était question d’héroïsme.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
Voir le profil de Marc sur le portail Overblog