FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
2 Août 2018
Dans la mesure où nous sommes nés dans des conditions favorables, entendez qui nous ont permis, un, de nous éduquer, d’acquérir une culture générale et l’ouverture d’esprit que cette culture générale favorise et deuxièmement, de nous libérer de contraintes sociétales trop défavorables pour que nous ne fassions autre chose de nos vies que de tenter de nous libérer, alors il convient d’agir avec sagesse.
Ce qui veut dire pratiquement deux choses :
1) Éviter de s’installer dans des lieux où nos principes moraux seraient ébranlés par les circonstances extérieures, telles des ghettos religieux qui mettraient à mal nos exigences théoriques de tolérance vis-à-vis des délires de la pensée superstitieuse.
2) Privilégier les endroits où l’humain n’est pas en surnombre, ce qui veut dire où la nature est encore (un tant soit peu) intacte, elle qui favorise la contemplation et permet le silence (intérieur).
P. S. : Dans le billet du 2 août 2017 il était question d’une épitaphe judicieuse: objectivité.
Sept secondes de silence et puis...
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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