FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
22 Août 2017
Voyager pour ne pas perdre la dimension terrestre de la vie. Et pour pouvoir, au retour, sur un banc de son jardin, s’attarder, s’extasier devant une nuit étoilée et ressentir ce quelque chose de diffus qui vous ébahit et vous rend indiciblement heureux : vous savez que vous partagez cette nuit avec toutes ces êtres que vous avez rencontrés sur les routes du monde, vous communiez avec eux.
P.S. : Dans le billet du 22 août 2016 il était question de surenchères.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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