FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
14 Novembre 2016
Ce monde à la dérive pourrait être bien mieux observé en prenant de la hauteur, mais hormis lorsque nous faisons silence, cette hauteur nous fait le plus souvent défaut. Pour le comprendre et pour nous comprendre, nous n’avons d’autre recours que dans la distance (aller loin d’ici) ou dans le temps (visiter des sociétés tribales ou dépassées).
Ce déplacement vers la périphérie du monde, cette distanciation, n’est-ce pas l’autre excellente façon de vivre ?
P.S. : Dans le billet du 14 novembre 2012 il était question d’une concise concession.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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Patricia LANGUE 19/11/2016 12:04
Marc 13/01/2017 19:24