FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
11 Mars 2016
Nous ne sommes peut-être pas le monde au sens où l’entendait Shankar*, mais ce qui est sûr c’est que nous avons la possibilité de ne pas** lui donner naissance (à ce monde) en le reproduisant dans une vie-conscience qui connaîtrait, elle aussi (cela également fait peu de doute) la souffrance.
*: Adepte de la non-dualité de l’observé (le monde) et de l’observateur (la conscience du monde).
**: "de ne plus" est correct aussi, un peu moins fort peut-être.
P.S.: Dans le billet du 11 mars 2009 il était question de susurrements.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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