FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
30 Octobre 2015
Le quotidien est une couverture, quelque chose qui nous tient bien au chaud, à l’inverse du voyage qui impose de se découvrir, de ressentir le froid de l’ouverture, ce froid qui nous rend tellement heureux de si bien le supporter et qui, de plus, nous rend plus fort et nous immunise quelque peu contre les vicissitudes à venir*.
Mais voyager n’est pas à la portée de tout le monde. Heureusement, il existe une autre aventure qui, sans nécessiter un déplacement, rend heureux et plus fort: celle de la méditation.
*: « Même si j'imagine le pire, l'avenir peut surenchérir. »
(Géza Csàth, cité par Louis Nucéra dans Mes Ports d'Attache, Grasset, 1994, p. 157)
P.S. : Dans le billet du 30 octobre 2013 il était question d'une rectification.
Un voyage en chambre, daté certes, mais planant quand même...
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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