FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
4 Mars 2015
Le plus grand bonheur du méditant c’est de regarder le ciel bleu, le cou cassé, de ne rien comprendre, de n’avoir rien à dire et aucune question à poser, ou alors des milliers.
P.S.: Dans le billet du 4 mars 2012, sans doute écrit sous le même ciel bleu qu’aujourd’hui, il était question de vertige.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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