FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
17 Décembre 2014
… toutefois cela ne m’empêche pas (sinon ce serait de l’égoïsme pur) de penser que tout le monde n’a pas eu ma chance, loin de là, et donc que ta création dans l’ensemble a été bâclée. Elle aurait pu fleurer bon l’extase, on aurait pu même admettre qu’elle soit insipide, mais pourquoi cette effluve de souffrance partout? Pourquoi? Je m’interrogerai toujours. Et peut-être est-ce pour cela, au fond que je médite encore et toujours. Ma méditation, toute méditation peut-être, ne serait-elle qu’une interrogation inconsciente à ce propos? »
P.S.: Dans le billet du 17 décembre 2006 il était question d’(af)franchissements.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
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