FULGURANCES D’APRÈS SILENCE
16 Décembre 2013
Quand on est enfant on est heureux avec ce que le marché nous offre pour nous distraire. On appelle cela des jouets. On ne se pose pas de question.
Quand on est adulte on est critique par rapport à ce que l’on veut nous faire acheter. On ne se laisse plus faire par ceux qui voudraient nous créer des besoins, on n’achète pas (par exemple) ces smartphones et ces tablettes dont on sait qu’ils ne servent qu’à nous voler notre temps - si précieux, si compté - pour rêver, méditer et s’instruire*. On ne nous le fait pas! Voyez comme ces objets ont peu de succès!
*: Ne nous reste-t-il pas, à la plupart, à lire encore quasi tout Dostoïevski et quelques pages de Schopenhauer?
P.S.: Dans le billet du 16 décembre 2012 il était encore question de Schopenhauer: sublimation.
Photographe, écrivain, sophrologue et enseignant de raja yoga, j’ai bourlingué des années en Asie et vécu longtemps dans des ashrams indiens. Lecteur de toutes les philosophies et amoureux de tous les silences, je vous livre ici mes fulgurances d’après ... silence.
Voir le profil de Marc sur le portail Overblog